L'idiot dernière nuit
Beteiligte das Stück Kostüme Zeichnungen Fotos
weitere Stücke zum Anfang
vignette maquette 1 vignette maquette 2 vignette maquette 3 vignette maquette 4 vignette maquette 5
vignette dessin 1 vignette dessin 2 vignette dessin 3 vignette dessin 4 vignette dessin 5 vignette dessin 6
vignette photo 1 vignette photo 2 vignette photo 3 vignette photo 4 vignette photo 5 vignette photo 6 vignette photo 7 vignette photo 8
 photo 1  photo 2  photo 3  photo 4  photo 5  photo 6  photo 7  photo 8 image 1 image 2 image 3 image 4 image 5 image 6 vignette maquette 1 vignette maquette 2 vignette maquette 3 vignette maquette 4 vignette maquette 5
- - - - - - - - - - - - zum Vergrößern anklicken - - - - - - - - - - - -
Théâtre de l'Odéon  Paris / FR
Uraufführung 1999

Regie : Balazs Gera

mit


Denis Lavant
Vincent Schmitt
Text :

Bühnenbild :
Kostüme :
Licht :
Ton :

Produktionsleitung :
Konstruktion :

Zéno Bianu
nach Dostoïevski
Elissa Bier
Elissa Bier
Gaëlle de Malglaive
Serge Robert

Gildas Burille
1 Point 3

Es tut mir leid, aber die Übersetzung des Textes ist noch nicht verfügbar

das Stück


La pièce met face à face Mychkine et Rogojine , les deux personnages du roman de Dostoïevski.
Deux êtres fantomatiques , à l'amitié singulière , indissociablement liés , qui se retrouvent pour une dernière nuit à proximité du cadavre invisible de Nastassia ...
L’un est enraciné dans la vision d’un dieu mort, une des visions du peintre Holbein, l’autre est prisonnier de sa passion pour la femme qu'il vient de tuer.

Inspiré par la dernière scène de L’Idiot , cette pièce écrite par Zéno Bianu est un huis clos étrange où se confondent les fragments de passé et les éclats d'avenir , où un lieu peut aussi devenir son reflet , puis l'écho d'autres lieux possibles ou rêvés …
Es tut mir leid, aber die Übersetzung des Textes ist noch nicht verfügbar

Bühne und Kostüme


J'ai cherché à créer un lieu distordu , percé de brèches conçues comme des reflets , afin de multiplier les points de rencontre entre l’intérieur et l'extérieur.
C'est un espace qui semble déformé par un objectif "grand angle" ,
où les lignes "de fuite" se rejoignent par l’effet de la courbure

On peut y voir un ventre , ou un bateau retourné ... mais c'est surtout un espace "mental" , hors de tout réalisme , d’où l’histoire surgit et dans laquelle elle retourne en fin de parcours …
Lors de la scène finale , sur le corps déjà pourrissant de Nastassia , les deux hommes tendent un drap qui la recouvre et qui les unit. Puis ils disparaissent dans le plateau...
Le passage est à nouveau franchi, mais dans l’autre sens cette fois, nous laissant sidérés devant cet étrange effacement ...
quelques pages du
"story board" …
JS-