En découdre
le générique l'histoire la maquette les dessins les photos
les autres pièces retour à la page d'accueil
vignette maquette 1 vignette maquette 2 vignette maquette 3 vignette maquette 4 vignette maquette 5 vignette maquette 6 vignette maquette 7 vignette maquette 8 vignette maquette 9 vignette maquette 10
vignette dessin 1 vignette dessin 2 vignette dessin 3 vignette dessin 4 vignette dessin 5 vignette dessin 6
vignette photo 1 vignette photo 2 vignette photo 3 vignette photo 4 vignette photo 5 vignette photo 6 vignette photo 7 vignette photo 8 vignette photo 9 vignette photo 10 vignette photo 11 vignette photo 12 vignette photo 13
 photo 1  photo 2  photo 3  photo 4  photo 5  photo 6  photo 7  photo 8  photo 9  photo 10  photo 11  photo 12  photo 13  dessin 1  dessin 2  dessin 3  dessin 4  dessin 5  dessin 6 vignette maquette 1 vignette maquette 2 vignette maquette 3 vignette maquette 4 vignette maquette 5 vignette maquette 6 vignette maquette 7 vignette maquette 8 vignette maquette 9 vignette maquette 10
- - - - - - - - - - - - Cliquez pour agrandir - - - - - - - - - - - -
Théâtre Pulloff  Lausanne / CH
création 2017

mise en scène : François Marin

avec


Barbara Tobola
Caroline Imhof
Mali Van Valenberg
Simon Bonvin
Marc Mayoraz
texte :
scénographie :
lumière :
création sonore :
costumes :
maquillages :

régie générale :
construction :


crédit photos :
Luc Tartar
Elissa Bier
William Lambert
Jérémy Conne
Scilla Ilardo
Séverine Irondelle

Estelle Becker
Frédéric Baudoin
Léo Piccirelli

Mercedes Riedy


Une jeune fille schizophrène vacille à l'annonce du diagnostic de sa maladie, mais va chercher en elle la volonté de se battre et de s'en sortir.
Elle monte sur les toits, engage le fer, apostrophe le ciel, sous les yeux de ses proches et devant tant de mains qui se tendent...

En découdre avec les idées reçues, confronter ses propres démons, bousculer les conventions, faire un pas de coté pour mieux capter la lumière, lutter avec vaillance pour avoir droit au bonheur.

Un texte délicat, un hymne à la vie qui rend compte de la fragilité humaine.

La scénographie



Le texte, écrit comme un poème dont les répliques sont libres et non distribuées, et qui parle d'un moment crucial de la vie d'une jeune schizophrène, m'a donné envie de créer un espace dans lequel les paroles et les corps glisseraient entre différentes couches, sur plusieurs niveaux.

L’idée est de transposer le trouble de perception qui agite la jeune fille, et le désarroi de ses proches.
Un praticable en pente, évidé au centre et tendu de larges bandes élastiques permet de plonger comme sous la surface d'un étang, mais un étang bleu comme un morceau de ciel !
Le sol en périphérie est instable et traitre. La scénographie découpe visuellement les corps des 5 comédiens pour faire un autre corps qui subitement, peut avoir plusieurs têtes, ou plusieurs mains, une jambe et plusieurs bras…
Et les frises, très basse, avalent les têtes des personnages lorsqu'ils se trouvent debout au fond, sur la partie la plus haute du praticable.

Pour les images :
patience …
la page est en construction …